Aide en cas de fourbure

 

Augmentation importante des cas de fourbure

Article de Claudia Nehls dans le journal ‘Pferdeanzeiger’

Tous les jours je reçois beaucoup de coups de téléphone de propriétaires de chevaux, dont les chevaux ont une fourbure. Je voudrais faire un petit résumé de mes expériences concernant la fourbure!

Les choses ont fortement changé: Avant, les moments de risque de fourbure étaient spécialement le printemps et l’automne. Le printemps à cause de l’herbe qui pousse, l’automne à cause du changement de température, l’herbe devient à nouveau plus riche qu’en été avec l’humidité et le soleil. Aujourd’hui je ne vois plus de différence, je reçois autant de coups de téléphones désespérés au printemps, en été, en automne et aussi en hiver. Les moments critiques se sont déplacés toute l’année. Ce ne sont plus seulement les poneys trop gros, qu’on laissent brouter sur de prairies trop grasses, ou qui ont volés de la nourriture dans le tonneau à avoine.

Il y a autant de chevaux en état normal comme aussi des chevaux trop gros, souvent également des animaux maigres ou trop minces. On ne peut même pas dire que mes patients sont d’une certaine race ou d’un groupe d’âge. Des chevaux de toutes les races et tranches d’âge développent une fourbure, seuls font exception les poulains et chevaux jusqu’à 3 ans. Il est exceptionnel qu’un cheval ou poney fasse une fourbure avant l’âge de 3 ans. A partir de 3 ans, on trouve tous les groupes d’âge et toutes les races avec la possibilité d’une fourbure. De ma propre expérience, je ne peux plus dire qu’il s’agît spécialement de races extensives comme le cheval de Hafling, le Tinker, le cheval Islandais, le Fjord ou le Shetland, il y a autant de Pur-Sang, de Demi-Sang et quelques chevaux de Traits touchés par cette maladie. Il y a peu de chevaux de Traits, car en général, cette race est moins présente que les autres.

Il est également très intéressant que beaucoup de chevaux qui ne vont pas en prairie, qui alors ne mangent pas d’herbe, développent une fourbure. Spécialement très intéressant, également que des chevaux nourris avec du foin et de la paille, sans supplément en graines ni en minéraux deviennent malades. Tombent malade également des chevaux qui broutent 24 heures en prairie, ceux qui sont seulement quelques heures en prairie, ceux qui sont 24 heures en boxe et ceux qu’on garde la nuit en boxe et le jour en paddock.

Il est un fait que des chevaux de toutes les races et de toutes les âges avec toutes les différentes manières de nutrition, tombent malade. On ne peut alors pas dire qu’en général, la cause principale d’une fourbure est liée qu’à la nutrition, puisqu’on trouve des chevaux avec une fourbure, tous différemment nourris, et tous différemment tenus. Parmi mes patients, je n’ai pas spécialement beaucoup de chevaux marchant pieds nus, ni spécialement des chevaux étant ferrés, le nombre est plus ou moins égal.

Par contre, souvent avant que la maladie se déclare, une correction du sabot était effectuée. On pourrait tirer la conclusion qu’un travail local effectué au sabot peut avoir une influence sur la maladie de la fourbure. On peut dire que ce n’est pas par un manque de travail effectué au sabot, mais plutôt par un trop grand changement du mécanisme naturelle du sabot. Maintenant, un manque de soin aux sabots peut également être une raison pour une fourbure. Très intéressant aussi que, quelque soit la fourbure dont il s’agit, le traitement est toujours le même. Il y a quelques principes qu’on peut changer dans la thérapie des différentes sortes de fourbure, mais au fond une thérapie avec succès sera presque toujours identique.

Quelles sont les conclusions de ce qui était dit jusqu’ici? Ce ne sont pas les fructanes ou d’autres formes de sucre, ni une trop grande quantité d’amidon, de protéine, d’énergie ou d’autres substances nutritives, ni un manque de celles-ci peuvent être la seule cause de la maladie, à part si on en donne d’ énormes quantités. Ceci prouve également que quelques chevaux, en étant nourris de la même façon, tenus de la même façon, travaillant de la même façon, développent la maladie et d’autres pas, alors qu’il s’agit de la même race, le même âge ou le même état nutritionnel. Les raisons pourquoi un cheval tombe malade restent- en tout cas vu de loin- cachée…….Si on regarde un peu plus prêt, il pourrait s’agir de………

En règle générale, la fourbure commence à cause de toxines, qui passent à travers une muqueuse intestinale poreuse et qui amènent par là des toxines dans l’organisme. Chez les chevaux les toxines se produisent par trop de protéines, trop d’amidon, différentes sortes de sucres dans une concentration élevée (par exemple fructane), mais également par des plantes toxiques, des pesticides et des toxines qui sont amenées par voie externe, par exemple par des médicaments trop hautement dosés ou des plantes toxiques.

Est-ce l’utilisation de plus en plus d’engrais et pesticides dans l’agriculture une des raison? Est-ce l’augmentation de la pollution un des facteurs provoquant la fourbure? Est-ce l’utilisation de plus en plus de conservateurs, les suppléments dans la nourriture de substances alimentaires qui n’existe pas dans la nature du cheval? Est-ce que ce développent n’est pas aussi la faute du consommateur, du propriétaire du cheval, car tous doit toujours devenir moins cher? Si plus personne veut payer un prix pour la qualité, si les agriculteurs sont forcés de produire de la quantité mais pas de la qualité, que des produits se vendent à cause de leur prix bas, qu’est-ce qu’on peut encore attendre comme qualité? Est-ce que ce développement n’est pas un peu la faute de nous tous, il est sûr que cela ne s’arrête pas chez nos chevaux ni dans nos propres produits alimentaires.

Peut-être il faut également une prise de conscience ici? C’est clair, tout le monde doit calculer, mais il faut avoir des priorités à quoi on dépense son argent. Parfois il vaut mieux d’acheter moins mais d’une qualité supérieure. Pourquoi on a tellement de scandale avec la viande? Est-ce pas la politique des prix bas? Qui veut bien payer plus cher pour de la qualité, s’il peut acheter un produit de moins de qualité à un prix plus bas? Quelle plante, quelle céréale, quel animal qui rentrera dans la chaîne alimentaire plus tard a encore la possibilité de grandir naturellement? On traite avec des pesticides, on met de l’engrais chimique, on fait grossir les animaux plus vite, tout doit aller vite, mais la nature va seulement vite avec un support artificiel; Notre nature joue aucun rôle dans la politique de prix!

Est-ce qu’un retour à la nature, l’arrêt de l’utilisation de pesticides, engrais et d’autres changements dans le processus naturelle, pourrait être une des possibilités d’éviter ces cas de fourbure?

Si on regarde les dernières 30 ans, on peut avoir l’impression que une des causes pourrait être trouvée ici. Les allergies augmentent également de plus en plus, pour les mêmes raisons. Si maintenant ces toxines ne peuvent pas être évacuées par la voie des selles (diarrhée, etc..), par la peau (eczéma, réactions allergiques de la peau, sensibilité à la lumière, etc,..) ou par les muqueuses (toux, bronchite, inflammation des yeux, catarrhe du nez), alors la muqueuse de l’intestin devient de plus en plus imperméable aux toxines qui peuvent entrer dans le sang pour provoquer tôt ou tard une fourbure.

L’intensité de la fourbure dépendra de la quantité des toxines dans l’organisme, dans le sang. On soutient le développement d’une fourbure par un parage incorrect, trop de corne du sabot enlevée, ou aussi par un mauvais ferrage et par un manque d’exercice. Une fourbure dont la cause est trop de surcharge a l’air d’être provoquée par une surcharge d’un seul côté, car de l’autre côté le cheval est boiteux ou a de la douleur. Il est un fait que trop de nourriture est une des causes de la fourbure. Un cheval développe plutôt une fourbure en étant trop bien nourri. Dans le cas d’une fourbure d’intoxication, le cheval a une surcharge de toxine dans l’organisme. Pourquoi les chevaux et les poneys deviennent également malade en mangeant que du foin pourrait être expliqué par le fait qu’un corps qui mange toujours un peu de toxine est à un moment aussi surchargé avec de petites doses de ces toxines, s’il n’élimine pas ses toxines, il va aussi tomber malade à un moment ou l’autre.

On peut aussi voir une cause dans un déséquilibre en minéraux, l’intestin a besoin d’un bon fonctionnement de sa symbiose, un équilibre entre base et acide, des vitamines et oligoéléments. Après avoir fait des tests (que personnellement, je trouve totalement inutile), on a trouvé quelques uns des causes de la fourbure, mais je pense qu’on n’arrivera jamais à une seule cause, scientifiquement prouvée, qui sera la même pour chaque cheval. On trouvait par exemple une certaine quantité d’amidon qui provoque chez chaque cheval/poney une fourbure, mais dans la ‘vraie vie’, des quantités pareilles sont rarement absorbées. La même chose pour le fructane, la protéine et d’autres. La plupart des fourbures ont plusieurs facteurs déclenchants.

On a une disposition par des problèmes déjà dans le passé du cheval, mais en général on ne se rend pas compte jusqu’il y a la première poussée de fourbure. Le moment clé pour l’apparition des symptômes de la maladie sera alors par exemple absorption d’une plante toxique, des toxines fortement concentrés dans la nourriture, des médicaments ( on sait que la cortisone peut être une cause), ou le cheval qui s’est servi lui même dans le tonneau d’avoine. Les allergies ont également un rôle important. Mes patients sont souvent des chevaux qui ont une maladie chronique de l’appareil respiratoire ou de l’eczéma depuis des années. On pourrait dire qu’avec le temps, l’expulsion des toxines par la voie de la peau ou des muqueuses devient impossible, ce qui provoquerait alors une fourbure. La maladie de la fourbure n’est apparement pas en relation avec des symptômes comme par exemple la diarrhée chronique, en tous cas, moi je ne connais pas de cas. Ici on pourrait alors constater que l’élimination des déchets toxiques par la voie de la diarrhée serait la plus efficace, du coup le corps n’a pas besoin de développer une fourbure. Par contre, une diarrhée chronique va avoir les conséquences de grandes pertes de minéraux, vitamines etc,…, on peut dans ce cas là donner un complément alimentaire pour éviter de nouvelles manques à ce niveau là.

Dans tous les cas de fourbure, c’est l’état général du cheval qui va faire la différence. Un cheval en bon état général peut tolérer beaucoup plus qu’un cheval en mauvais état de santé.

Espoir et courage pour des chevaux fourbus

(Article de Claudia Nehls concernant les poneys et petits chevaux )

Les causes de la fourbure peuvent être nombreuses, on n’a pas toujours l’influence si notre cheval développe une fourbure ou pas. Beaucoup de facteurs qui amènent à une fourbure ne sont pas influençable par nous. On peut, non, on doit par contre essayer d’enlever les facteurs négatifs de la maladie le plus possible. On peut influencer la nutrition, la prairie, le travail au sabot, le travail de notre cheval et sa psyché d’une façon responsable et adapté au cheval.

Il existe beaucoup d’actions prophylactiques pour éviter une fourbure:

Facteurs psychologiques:

La psyché joue dans toutes les maladies un énorme rôle. C’est seulement nous qui pourrons faire en sorte que notre partenaire cheval se sente bien: Dans le troupeau avec ses amis cheval, dans son environnement, avec nous. Nous pouvons faire en sorte qu’un stress inutile et de la hectique ne crispent pas l’estomac et les intestins de notre ami. On peut faire en sorte que le cheval se trouve dans un environnement adapté à lui et qu’il est soigné comme il faut. C’est la base et on le lui doit toute simplement!

Environnement:

Concernant l’environnement du cheval, il faut dire qu’il est adapté individuellement à chaque cheval. Par exemple, tous les chevaux ne se sentent pas à l’aise dans un grand troupeau ou dans un boxe ouvert. Pour la plupart des chevaux c’est idéal, mais pas pour tous. Par contre on peut dire qu’aucun cheval se sente bien dans un boxe fermé pendant 24 heures, ici il n’y a pas d’exception.

Ce qui est toujours important c’est qu’il faut beaucoup d’ exércise libre, pas de monotonie, de la lumière, et de l’air. Chacun peut s’organiser comme il veut. On ne peut pas donner un conseil qui serait bon pour tout le monde, il y a trop de différentes possibilités comment un cheval peut être tenu.

Nutrition:

La nutrition doit être au maximum naturelle; ce qui n’est pas tout à fait facile aujourd’hui.

Naturelle veut dire: pas de complément synthétique, pas de pesticides si possible, pas d’engrais, etc,…..Toutes forme de nourriture doit être naturelle; Cela veut dire: la prairie, foin, paille, graines,.. Pas facile, mais le propriétaire de cheval peut se renseigner comment les prairies sont entretenues, d’où vient la nourriture, est-ce qu’on met de l’engrais ou pas,…. Je pense que, plus les propriétaires de cheval s’intéresserons à toutes ces questions, plus les choses changerons dans une direction vers plus de produits naturels. Le mot ‘ produit naturelle’ est fort à la mode, par contre si on ne demande pas, on ne peut pas être sure qu’il s’ agit vraiment d’un produit naturelle.

Il est important de désintoxiquer le cheval régulièrement, car l’environnement est toujours plus pollué. Si on soutient foie et reins de l’organisme de notre cheval, les toxines qui sont arrivées par voie extérieure sont mieux éliminées. L’effet de ces toxines sur l’organisme du cheval est du coup moindre.

Cette thèse est aussi soutenue par nos expériences avec nos compléments alimentaires, le mélange d’herbes séchées Rehe-Ex (ne pas à confondre avec le Rehe-Ex liquide) et du Hufelexier.

Je pense que, toutes les expériences positives des dernières années dans le traitement de la fourbure, étaient le résultat de ses deux compléments alimentaires, seulement à trouver à notre Centre de Naturopathie pour Animaux. Sans l’effet désintoxiquant de ses deux compléments alimentaire, la thérapie dans le cas de fourbure n’aurait pas été tellement efficace. Le complément alimentaire Rehe- Ex et le Hufelexier soutiennent tous les deux le foie et les reins  dans son élimination de toxines. Les documentaires de mes propriétaires de chevaux prouvent que dans la thérapie de la fourbure, l’élimination de toxines est des plus important. Il n’est pas important de quelle sorte de fourbure il s’agit, le traitement est le même. Les expériences qu’on a fait avec le mélange d’herbes séchées Rehe-Ex ainsi qu’avec le Hufelexier sont identiques! L’administration de ses herbes s’est montrée efficace pour l’utilisation profilactique et également en cas de fourbure aigue.

Personnellement je donne à tous les chevaux qui se trouvent chez nous au Centre de Naturopathie pour Animaux, tous les jours et durant toute l’année le mélange séchée Rehe-Ex, en tant que complément naturelle en minéraux, et pour les chevaux qui sont prédisposés ou qui ont déjà une fois développé une fourbure en plus le Hufelexier.

En plus je conseille de veiller à une nutrition naturelle et adapté individuellement. Chaque cheval a sa propre ‘ diète’, on ne peut jamais généraliser, car parfois on a aussi des chevaux très maigres. Il serait fatal de mettre des chevaux déjà maigre en diète, ils vont maigrir encore plus et développeront d’autres maladies supplémentaires. Il ne suffit pas non plus de regarder les conseils se trouvant sur le sac de nourriture, chaque cheval à un besoin totalement différent, on ne peut pas généraliser. Adapté au cheval veut dire qu’on doit bien regarder l’animal, réfléchir, réfléchir en tant que ‘connaisseur de cheval!’ Adapté au cheval veut dire pour moi également: nourrir naturellement, pas ajouter un petit sachet de poudre par ici, ou un petit produit par là.

Adapté au cheval veut dire aussi, de réfléchir à la cause si des problèmes, maladies apparaissent. Il ne suffit pas de vite ajouter encore un autre complément alimentaire, si on n’est pas sure de la cause, parfois on peut empirer les choses.

Parage/ correction de sabot/ Ferrage:

Théoriquement très facile, en pratique le thème le plus difficile……Mon expérience me dit: moins est plus, mais pas assez n’est pas une solution. Le destin de nos chevaux dépend du maréchal et si je pouvais j’envoyais le mien autour du monde,…

Voici la raison: Il connaît bien les chevaux et son métier, ce qui n’est pas donné à tout le monde:

On ne peut pas trop corriger ni trop peu; on ne peut pas faire des expérimentations aux pieds des chevaux. Il n’est pas toujours nécessaire de corriger quoi que se soi, de l’autre côté, on ne peut pas laisser ‘libre cours’ à la nature.

Quand il s’agit de fourbure, il n’y a pas de schéma type:

Chaque patient de fourbure est un cas individuel. Il y a des chevaux à qui on plâtre les sabots et cela leur fait du bien, et sur un autre ce n’est pas le bon traitement. Parfois un ferrage orthopédique est une bonne solution, parfois cela empire tout. Pour ça on peut dire que dans beaucoup de cas un simple ferrage peut déjà aider, car la sole du pied ne pose plus par terre et le cheval n’a plus de douleur. L’argument qu’on ne peut pas clouer parce que le cheval a de la douleur je n’accepte pas, car la plus grande souffrance vient quand le cheval doit donner son pied pendant le ferrage et tout son poids pèse alors sur le pied enflammé, je pense que les clous ne font plus la différence. Malheureusement le cheval est obligé d’être debout à chaque manipulation du sabot, il est rare qu’on endorme le cheval et on travaille sur les sabots quand l’animal est couché. Quelle sera la bonne manière dépend également du passé du cheval. Mes conseils seraient certainement différents avec un cheval qui a été toujours ferré et un autre qui a toujours couru pieds nus. L’histoire médicale du cheval donne aussi des indices quel sera le bon traitement dans ce cas là.

Un conseil avec lequel on ne peut certainement pas se tromper est le suivant:

On protège la sole du pied avec par exemple un lange puis en l’emballe pas trop serré avec un bandage. On peut par exemple le garder la journée au sec et le bandage de la nuit mouillé, ou l’inverse. Le bandage mouillé je ne trouve pas positive, si on fait cela pendant plusieurs jours, car le pied devient trop mou et trop sensible à cause de l’humidité. De l’autre côté un bandage mouillé pendant quelques heures est certainement une bonne chose, car la corne du pied se dilate et la douleur sera alors moins grande. La douleur de la fourbure est comparable  aux sensations, quand on se balade avec des chaussures à hauts talons beaucoup trop petites et nos pieds sont déjà pleines de cloches ouvertes, saignantes et suppurantes.

D’après tout cela, on peut voir qu’on ne peut pas donner de conseils généraux à l’exception de la désintoxication de l’organisme. Mais même avec ça, il faut bien réfléchir, on peut faire beaucoup d’erreur en ‘automédication’.

Personnellement le thème de la fourbure m’occupe déjà depuis 1999 intensivement, car pendant cette année ma jument de 3 ans avait développé cette maladie. Je peux seulement dire que la fourbure est une maladie difficile, il s’agit toujours d’un danger de mort et on ne peut pas donner des conseils en générale à part la désintoxication. Tout le reste doit être adapté individuellement. Même des spécialistes de chevaux expérimentés doivent réfléchir à chaque cas de fourbure, quel sera le bon traitement. Ceci est certainement déjà de l’art en soi! Mon résumée des années passées est le suivant: Je conseille mes produits personnellement et en détail, pour toutes questions supplémentaires, je préfère de prendre rendez-vous pour un coup de téléphone, pour bien conseiller il me faut du temps et de la concentration, je ne sais pas faire cela pendant mes consultations. Pour pouvoir donner un conseil sérieux, pour moi c’est la seule façon, car avec toutes les différentes formes de fourbure qui sont souvent assez inexplicables, on ne peut plus donner des conseils généraux.